Une preuve que les pays arabes vivent encore au Moyen Âge :

 

Le Maroc est en pleine agitation : agressions, coups, attouchements sexuels, viols : les abus sexuels sont généralisés et les victimes ne sont pas que des femmes.

 

Dans un pays qui se veut, selon les discours officiels, chantre d’un islam tolérant et où les femmes n’ont pas l’obligation de porter le voile, les femmes subissent fréquemment insultes, remarques désobligeantes et autres agressions sexistes dans les espaces publics.

 

Selon les chiffres officiels, près de deux Marocaines sur trois sont victimes de violences. Et les lieux publics sont les endroits où la violence physique à leur égard est la plus manifeste.

 

La loi marocaine  condamne le harcèlement des femmes au travail, mais pas dans les espaces publics. Depuis des années Le souverain marocain mettaint en priorité « Al-Qods » aux dépens des viols collectifs dans son Royaume.

 

Actuellement une nouvelle  affaire secoue le Royaume

 

Diffusée depuis dimanche sur les réseaux sociaux, une nouvelle vidéo montre un groupe d’adolescents hilares bousculé violemment une jeune femme en pleurs dans un bus en plein jour, essayant de la déshabiller et touchant ses parties intimes. Les six agresseurs, tous mineurs, ont été arrêtés.

 

La victime, 26 ans et atteinte de troubles mentaux, faisait l’objet d’un avis de recherche sur la demande de sa famille après avoir quitté en mai dernier son foyer vers une destination inconnue.

La victime a été érigée en symbole des violences en tous genres que subissent quotidiennement les marocaines dans le pire pays au Maghreb pour être une femme.

 

Depuis la diffusion de la vidéo, de nombreux médias locaux tirent la sonnette d’alarme sur le harcèlement des femmes dans la rue, avec en toile de fond une « crise des valeurs » dans une société tiraillée entre modernité et conservatisme.

 

Près de 300 personnes ont manifesté  ce mercredi à Casablanca pour dénoncer l’agression sexuelle collective dont a été victime une jeune femme dans la métropole économique du Maroc, une affaire qui a profondément choqué l’opinion publique.

 

A Rabat, un sit-in similaire a réuni près de 200 personnes.

 

 

« L’habit ne fait pas le viol ! Nous n’avons pas peur ! Libérez l’espace public ! », a scandé la foule réunie sur une place centrale de la ville.

 

 

« Personne ne peut rester indifférent […] ça nous concerne tous », a lancé Fatym Layachi, chroniqueuse et metteur en scène présente parmi les manifestants.

 

« Il se trouve que ce drame a été filmé, on en a entendu parler. Je n’ose même pas imaginer le nombre de drames similaires qui se passent tous les jours dans les bus ou ailleurs dans les lieux publics. Il faut que ça cesse », a-t-elle poursuivi.

 

« Je me sens concernée parce que j’aurais pu être cette fille », a confié à l’AFP Oum, chanteuse marocaine populaire et engagée. « Je suis ici pour dire qu’on doit mieux éduquer nos enfants », lance-t-elle, coiffée d’un turban, lunettes de soleil sur le nez.

 

 

« Les lois pour les hommes, le viol pour les femmes », s’est encore époumonée la foule.

 

Pour Salah El Ouadie, poète et président du mouvement Damir (conscience), « il y a un grand danger aujourd’hui, c’est la banalisation de ces crimes, des viols contre des femmes dans l’espace public. »

 

« Nous avons besoin que les pouvoirs publics prennent la chose au sérieux, au niveau sécuritaire mais également au niveau du rôle de l’école », a-t-il estimé.

 

Triste sort des animaux au Maroc le même que celui des femmes : la malheureuse ânesse

 

On connaissait le Maroc pour la pédophilie, la prostitution, le tourisme (sexuel bien sûr), la drogue , mais la zoophilie est un réel problème aussi. Quinze Marocains de 7 à 15 ans ont violé une ânesse récemment.

 

Selon les médias locaux, cette affaire de viol d’une ânesse par 14 jeunes hommes des alentours de cette ville connait des développements inattendus et graves au niveau sanitaire, alors qu’elle trouve des échos à travers le monde en raison des relais des associations puissantes de protection des animaux. La zoophilie est que rarement abordée dans le débat public marocain.

 

Si l’on a plus de nouvelles de l’ânesse victime de viol en groupe, le cas des adolescents ne prête guère à l’optimisme. Après leur acte impensable, cruel et barbare, les 14 violeurs ont commencé à affluer un par un à l’hôpital où ils ont été pris en charge mais tenus à l’écart des autres malades pour une raison bien simple : l’ânesse était atteinte de rage et a contaminé tous ses violeurs.

 

Le pire reste à venir car l’hôpital de la ville ne dispose pas du traitement nécessaire à leur guérison et il n’existe nulle par ailleurs dans tout le Maroc non plus.

 

Tous les services d’hygiène du pays sont aux abois pour trouver une solution l’antidote et sauver les adolescentes d’une mort certaine et le reste de la population d’une contamination.

 

 

Souhail Ftouh

 

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