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Il ne faut pas s’étonner si des Musulmans de plus en plus jeunes se mettent à décapiter, dans nos rues, des citoyens occidentaux. A cause de l’immigration de millions de Musulmans dans les pays occidentaux, les mœurs barbares de l’Islam s’installent, avec leur cortège d’égorgements et de décapitations.

Ici une école privée coranique à Tunis a pris en charge, à l’occasion de cette sanguinaire coutume du sacrifice du mouton aussi barbare pour les adultes que traumatisante pour les enfants, de donner des cours en égorgement rituel à la petite enfance.

Sans prendre conscience de l’impact désastreux de l’égorgement du fait de sa charge émotionnelle sur des enfants de moins de 4 ans, l’exercice s’est déroulé sur des moutons fabriqués en coton.

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Les enseignantes tunisiennes voilées ont même publié des photos expliquant les techniques de l’égorgement halal. Elles essayent notamment de montrer aux petits innocents comment tenir “les couteaux pour qu’ils coupent bien” selon la stricte application de la Sharia.

Alors que la licéité de l’égorgement du mouton par une femme ne fait pas déjà l’unanimité des savants musulmans, ces éducatrices motivent leurs élèves sur le fait que « tes parents égorgeront ce mouton pour ne pas avoir à t’égorger…»

La décapitation d’un mouton les rend pourtant insensibles à la vue du sang, et à la souffrance d’une pauvre bête qui se débat; tuer un mouton ou un humain c’est similaire. Il n’est pas étonnant que cette pratique répétée de l’égorgement, dès le plus jeune âge, couplée à la haine envers les non-musulmans que déverse le Coran dans ses Versets, débouche sur des décapitations.

L’un des moyens d’assassinat les plus employés pour tuer les non-musulmans est la décapitation, que de nombreux chefs musulmans ont pratiquée à grande échelle, en suivant les préceptes de la Sharia.

Pas un jour sans nouvelles qui puent la mort sur la planète au nom de l’Islam : des assassinats, des égorgements, des prises d’otages, des ultimatums, des boucheries perpétrées par des kamikazes au Yémen, ou Libye, des carnages dans les rues en Irak ou en Syrie, des tueries en Afghanistan ou au Pakistan…

Pour les Musulmans, les égorgements et décapitations sont non seulement une pratique licite (halal) de l’Islam, mais aussi un moyen de propagande. C’est pourquoi ils ont la sordide manie de filmer leurs crimes barbares, afin de tenter de terroriser les peuples non-musulmans. En exemple cette décapitation en Tunisie, par des islamistes d’un converti chrétien (juin 2012) [de 1:13 à 3:59].

L’État Tunisien tolère l’enseignement de la barbarie dans les écoles coraniques

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Alors que le rythme de ces égorgements et décapitations s’accélère dangereusement, le gouvernement à Tunis ferme les yeux sur l’enseignement de la barbarie dans ces écoles coraniques.

Depuis l’an dernier, Nabiha Kammoun, la présidente de la Chambre nationale des jardins d’enfants et des crèches, a lancé  une alerte sur la télé que l’État a délaissé le secteur de l’enfance aux islamistes, ne s’y investit pas du tout, et que la preuve de cela c’est que 91% des enfants sont chez les privés, qui est dominé par les écoles religieuses.

Elle a ajouté que le secteur est devenu de plus en plus fragile dans le privé après le départ de Ben Ali en 2011 et l’avènement des associations et des « jardins d’enfants coraniques », qui fabriquent des projets d’« enfants kamikazes » et qui encadrent les enfants d’une manière qui leur est propre, selon ses dires.

Elle a ajouté que ces associations opèrent depuis 2012 et encadrent les enfants selon un programme extrémiste wahabite au vu et au su du ministère, rappelant les crèches qui travaillent sans autorisation, qui sont non réglementées et dans lesquelles des salafistes s’activent ces dernières années.

D’ailleurs l’école coranique privée, qui avait formé l’auteur de l’attentat de Sousse en 2015 contre des occidentaux, est toujours ouverte. (voir notre article )

Force est de constater que cinq ans après la révolte, l’ONU considère la Tunisie comme le premier pourvoyeur de combattants au groupe EI avec 5 500 ressortissants en Syrie et autant en Libye.

Les Tunisiens sont aussi les plus solidaires avec le groupe de l’EI en Lybie. Selon un sondage réalisé par l’institut Emrhod Consulting 74% des Tunisiens s’opposent à une intervention militaire pour déloger les djihadistes. Seulement 12% des sondés l’approuvent (1).

On se rappelle comment, lors des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, des millions de Musulmans, sur toute la planète, s’étaient félicités de l’assassinat de près de 3000 civils occidentaux. En France, dans les cours de récréation des collèges et lycées de banlieue, de nombreux élèves musulmans avaient hurlé de joie à l’annonce de ces crimes contre l’humanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour Dreuz.info.

(1) Enquête réalisée entre le 16 et  le 19 février 2016 auprès d’un échantillon représentatif de la population Tunisienne en âge de voter (18 ans et plus). Un palier 1078 personnes ont été interrogées par téléphone dans les 24 régions (zones urbaines et rurales).

 

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