L’organisation américaine pro-israélienne a salué les résultats des élections à mi-mandat aux États-Unis qui a vu la réélection de nombreux membres de l’AIPAC au Congrès.

Le 2 novembre dernier, se sont déroulés les élections de mi-mandat (en anglais Midterm elections) aux États-Unis où l’ensemble des 435 sièges de la Chambre des représentants des Etats-Unis, du Sénat américain et plusieurs législatures ou gouverneurs d’états américains ont été renouvelés.

En ce jour d’élections de mi-mandat, traditionnellement un mardi, les Américains se sont rendus aux urnes pour renouveler entièrement les 435 sièges de la Chambre des Représentants, un tiers des sièges du Sénat.

Les républicains ont, comme prévu, gagné la majorité à la Chambre des représentants. Les démocrates se maintiennent au Sénat. Le parti républicain détient désormais 233 sièges à la Chambre des Représentants, contre 179 auparavant.

L’amplitude de la vague républicaine a montré que l’Administration Obamienne n’est plus populaire aux Etats-Unis. Les Juifs Américains qui ont voté pour lui, en 2009, n’ont pas eu à attendre longtemps pour se rendre compte de la grosse bêtise qu’ils ont commise.

Hussein Obama a décu beaucoup les américains et principalement les Juifs. Obama, se comportait depuis deux ans comme un dirigeant de gauche européenne.

Barack Obama avait très mal commencé son approche du conflit israélo-palestinien en exigeant d’emblée le gel de toute construction dans les implantations juives en Judée Smarie sans pouvoir présenter un plan de paix complet.

On se souvient que M. Obama a fait du processus de paix une priorité de politique étrangère de son gouvernement dès son entrée en fonction le 20 janvier 2009. Ce mois-là, il a désigné l’ancien sénateur George Mitchell comme son envoyé spécial au Proche-Orient. Depuis lors, celui-ci a fait plusieurs voyages dans la région en vue notamment de déterminer dans le cadre de ses entretiens bilatéraux la position de chaque partie et de conférer avec les hauts dirigeants égyptiens, qui tiennent des consultations séparées avec les autres États arabes et avec Israël.

Dès son arrivée à la Maison Blanche, Obama et son conseiller spécial pour la région George Mitchell, ont tenté d’imposer au gouvernement israélien un gel total des constructions dans les implantations juives.

On s’accorde aujourd’hui pour estimer que cette exigence était une erreur, car elle était impossible à accepter pour Benyamin Netanyahou, parce qu’elle remettait en cause la promesse faite à Sharon par George W. Bush, dans sa lettre de mai 2004, selon laquelle les frontières de l’Etat palestinien prévu dans le cadre de la “feuille de route” établie par son administration tiendraient compte des réalités sur le terrain, notamment de l’existence de “blocs d’implantations juives” à la limite de la “ligne verte” de 1967 et dans la périphérie de Jérusalem.

Obama a voulu obliger le Gouvernement israélien pour faire des concessions sans réciprocité à des terroristes palestiniens. Il a tenté d’ essayee de forcer les israéliens à une fausse paix qui briserai le dos d’Israël. Hussein Obama ne cache plus son jeu à l’égard d’Israël, qu’il maltraite de bouc émissaire.
La « main tendue » des Etats-Unis d’Obama à l’Iran des mollahs a constitué un nouvel aveu d’impuissance de taille. Obama, qui a tienu à afficher ses différences avec son prédécesseur à la Maison Blanche, a adressé un message soft et happy destiné à Téhéran.

Obama n’a pas d’agenda contraignant pour l’Iran ce qui a suivie une politique de conciliation et de pourparlers avec les ayatollahs. L’essai réussi par l’Iran de son missile Seiji 2 à combustible solide avec un rayon d’action de 2.000 km a tout simplement démontré l’impuissance d’Obamaé gérer les grands dossires en suspens. L’administration Obama, par ses déclarations naïves, envoie des signes de faiblesses envers l’Iran. Téhéran a conscience que les nouvelles sanctions contre l´Iran sont inefficaces, et que les menaces ne sont qu´une manoeuvre pour amener l´Iran à la table des négociations. Le président noiir des USA Barack Obama n’empêchera pas l’Iran d’acquérir des armes nucléaires.

Le président américain s’est déjà résolu à un Iran nucléaire. Huseein Obama continue à supplier l’Iran d’entamer un dialogue
Obama s’est entouré de conseillers Juifs, pour faire croire qu’il mènera une traditionnelle politique pro-israélienne.Il a posé près du Mur, kippa sur la tête, après y avoir glissé un voeu.Ces gestes étaient destinés à la communauté juive qui a voté à 76% pour lui. Il y a eu ensuite la création de JStreet, financée par des fonds arabes pour réduire l’influence de l’APAIC.

Fondé en 1951 et n’employant jusque dans les années 1970 qu’une petite poignée de collaborateurs, l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) compte à présent, selon ses propres indications, 85.000 membres et 165 employés à plein temps, et dispose d’un budget annuel de 33,4 millions de dollars. Outre le siège central, qui se trouve à Washington à proximité directe du Congrès, l’AIPAC a des bureaux dans une dizaine d’états des USA ainsi qu’en Israël.

L’AIPAC s’appuie sur un réseau de plus de 70 organisations dont la plupart sont représentées au sein de son comité directeur de 50 membres. De cette façon, seul l’AIPAC proprement dit est tenu de se faire enregistrer en tant que groupe de pression.

L’AIPAC offre à chaque parlementaire nouvellement élu au Congrès un voyage d’une semaine en Israël, en guise de petit cadeau marquant le début d’une fructueuse coopération.

Les « nouveaux » font d’ailleurs l’objet d’une attention toute particulière de la part de l’AIPAC et ce, dès l’instant où ils présentent leur candidature à la Chambre ou au Sénat. Dans la mesure du possible, chacun d’eux sera convié à une entrevue qui permettra de constater « ce qu’il a dans le ventre » et de se faire une idée de sa position vis-à-vis d’Israël. Mais il ne s’agit là que d’une mesure accessoire, car l’AIPAC dispose de dossiers détaillés sur tous les politiciens.

87 sénateurs américains ont présenté, en juin 2010, une pétition au président Obama dans laquelle ils expriment leur soutien à Israël et à son droit à l’autodéfense devant les menaces du Hezbollah, du Hamas et de l’Iran.  »Israël a le droit de riposter aux milliers de roquettes tirées par le Hamas depuis Gaza » ont inscrit ces sénateurs dans leur pétition.

Sarah Palin, candidate républicaine malheureuse à la présidence des USA, a reproché à Barack Obama d’avoir humilié le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou et d’avoir abandonné Israël dans l’affaire de la flottille pour Gaza( ami 2010) .

Elle a également accusé Obama de s’être  »replié » face à la Chine et à la Russie.

Obama, se comportait en effet, depuis deux ans, comme un dirigeant de gauche européenne. Si Barak Hussein Obama continue comme ça; Il va se prendre aux élections de novembre 2012, un gigantesque coup de pied au cul.

Ftouh Souhail

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