Le massacre du 7 octobre, un jour gravé dans la mémoire collective de chaque Israélien, témoigne de la brutalité implacable du terrorisme.
Ce jour fatidique, des civils innocents rassemblés au festival de musique Supernova ont été accueillis par une pluie de tirs et de grenades déclenchée par des terroristes du Hamas.
Au milieu du chaos et de la dévastation, des photojournalistes étaient présents, non pas en tant qu’observateurs impartiaux, mais en tant que participants actifs à l’exploitation de la tragédie.
Plutôt que de tendre la main aux blessés ou de réconforter les personnes en deuil, certains ont choisi de brandir leurs appareils photo comme des outils de sensationnalisme, capturant des images qui exploitent la souffrance des innocents pour leur profit personnel.
Un exemple est la photographie primée, saluée comme la « Photo de l’Année » par le Reynolds Journalism Institute.
Congratulations to @AP for winning a Pictures of the Year award. How does it feel to do so on the back of Palestinian photojournalists who infiltrated Israel on Oct. 7 and took photos like the one below of Shani Louk's dead body in a Hamas pickup?
— HonestReporting (@HonestReporting) March 22, 2024
Was @RJI bothered about that… pic.twitter.com/MSasc9yzVp
Cette image méprisable, montrant le corps sans vie de Shani Louk, une victime du massacre du 7 octobre, sert de rappel grotesque des profondeurs auxquelles certains médias sont prêts à sombrer dans la poursuite des distinctions.
La dignité et l’humanité de Louk ne devraient pas être ternies en étant éternisées dans une photo où elle est à moitié nue, exhibée par des terroristes.
Shani Louk (Instagram de Shani Louk)

Il est totalement répréhensible que le Reynolds Journalism Institute accorde un tel honneur à un photographe qui non seulement n’a pas respecté les principes du journalisme éthique, mais a activement participé à l’exploitation de la souffrance humaine.
En récompensant un tel comportement, ils sont complices de la perpétuation d’une culture du voyeurisme et du sensationnalisme qui dévalorise la vie humaine.
Nous devons exiger que le Reynolds Journalism Institute retire ce prix honteux et présente des excuses publiques aux victimes et à leurs familles.
Honorer ceux qui exploitent la tragédie pour leur profit personnel est une parodie de justice et une tache sur l’intégrité du journalisme.
ENVOYEZ UN E-MAIL AU REYNOLDS JOURNALISM INSTITUTE À : [email protected]
EXEMPLE D’E-MAIL:
Sujet: Retraction of ‘Photo of the Year’ Award for Exploitative October 7 Massacre Photo
Dear Reynolds Journalism Institute,
I am deeply troubled by your decision to award the “Photo of the Year” to an image depicting the hostage abduction during the October 7 massacre. This photo, featuring the violated body of Shani Louk, is not only disrespectful but also morally reprehensible.
By honoring this image, you are complicit in the exploitation of tragedy for profit and perpetuating the dehumanization of innocent victims. Your failure to acknowledge Shani Louk by name and address the full scope of the atrocities committed on October 7 is utterly unacceptable.
I demand the immediate retraction of this award and a formal apology to the family and friends of Shani Louk and all the other victims.
Sincerely,
[Votre nom]