Carte de la Palestine sous la domination britannique
Carte de la Palestine sous la domination britannique

Après la révolte de Bar Kokhba contre l’Empire romain (132-135 apr. J.-C.), la province de Judée fut rebaptisée Syria Palaestina par l’empereur romain Hadrien pour détacher la province judéenne de l’identité juive.

Dans l’histoire récente, la zone appelée Palestine comprend les territoires de l’actuel Israël et de la Jordanie (voir la carte). De 1517 à 1917, la majeure partie de cette région est restée sous la domination de l’Empire ottoman.

Pendant la Première Guerre mondiale, en 1917, l’armée britannique occupa Jérusalem. Le 2 novembre 1917, le secrétaire britannique aux Affaires étrangères, Arthur James Balfour, publia la Déclaration Balfour pour « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».

L’Empire ottoman fut dissous à la fin de la Première Guerre mondiale en 1918. Le 19 avril 1920, la conférence de San Remo réunie par quatre puissances alliées de la Première Guerre mondiale – la Grande-Bretagne, la France, l’Italie et le Japon – adopta une résolution notant que le mandat pour la Palestine sera responsable de la mise en œuvre de la Déclaration Balfour, pour l’établissement du foyer national juif.

En 1922, la Grande-Bretagne attribua près de 80% de la Palestine à la Transjordanie (qui fut ensuite renommée Jordanie). Ainsi, la Jordanie couvre la majorité du territoire de la Palestine sous mandat britannique. La Jordanie comprend également la majorité des Arabes qui y vivaient. En d’autres termes, la Jordanie est la partie arabe de la Palestine.

En 1923, la République moderne de Turquie (qui succède à l’Empire ottoman) signa le traité de Lausanne acceptant de transférer des territoires (y compris la Palestine) sous le contrôle de l’Empire britannique.

Sous le régime britannique, les habitants de la Palestine étaient appelés « Palestiniens ». Étant donné que la Palestine comprenait l’actuel Israël et la Jordanie, les résidents arabes et juifs de cette région étaient appelés « Palestiniens ».

Ce n’est qu’après que les Juifs ont réinvesti leur patrie historique de Judée et Samarie, après la guerre des Six Jours, que le mythe d’une nation palestinienne arabe a été créé et commercialisé dans le monde entier. Le narratif d’un « peuple palestinien » qui aurait vécu sur cette terre a été inventé par le KGB en 1964.

  • Les Juifs viennent de Judée, les arabes viennent d’arabie.
  • Pour nier le lien historique du peuple juif avec la terre d’Israël, les Arabes ont commencé à utiliser le nom de « Cisjordanie » pour les territoires qui étaient connus sous les noms de Judée et de Samarie. Voir les cartes historiques de la Palestine et de la Palestina qui montrent les noms bibliques de la region.
  • Il n’existe pas de langue palestinienne. En arabe, la lettre « p » n’existe pas.
  • Il n’y a jamais eu de pays connu sous le nom de Palestine et gouverné par des Palestiniens.
  • Une grande partie de la population arabe de cette région a émigré en Israël et en Judée-Samarie en provenance des pays arabes voisins au cours des 100 dernières années.
  • La renaissance d’Israël s’est accompagnée d’une prospérité économique pour la région. Les Arabes ont émigré dans cette région pour trouver un emploi et bénéficier d’un niveau de vie plus élevé.
  • Arafat, n’était pas un « Palestinien » mais un Égyptien (né en Égyptie).
  • Le célèbre « pacte palestinien » (ou charte palestinienne) stipule que les Palestiniens sont « une partie intégrante de la nation arabe » – la nation arabe est dotée d’une masse terrestre peu peuplée de 660 fois la taille d’Israël (i.e. Judée, Samarie / Cirsjordanie et Gaza incluses).
  • Le fondateur du parti arabe israélien Balad, M. Azmi Bishara, a noté qu’il n’y a pas de nation palestinienne et que les Arabes en Israël font partie de la nation arabe. (Voir la vidéo de l’interview avec Azmi Bishara).

Dans des documents datant de moins de cent ans, la région est décrite comme une région peu peuplée. Les Juifs étaient de loin majoritaires à Jérusalem. Jusqu’à l’accord d’Oslo, la principale source de revenus pour les résidents arabes était l’emploi dans le secteur israélien. À ce jour, de nombreux Arabes tentent d’émigrer en Israël avec diverses tromperies pour devenir citoyens israéliens.

Le « Ngram Viewer » de Google, qui cartographie l’apparition de termes uniques dans les livres de 1800 à nos jours, documente l’arrivée tardive des Palestiniens. Une recherche de « État palestinien » ou « peuple palestinien » ne donne presque aucun résultat avant la fin des années 1960, lorsque le nombre explose.

1964 le KGB invente la notion d'une nation palestinienne

1964 le KGB invente la notion d’une « nation palestinienne »
Le terme peuple palestinien fut invente par le KGB en 1964
Le terme « peuple palestinien » fut invente par le KGB en 1964

Toutes les tentatives visant à revendiquer la souveraineté arabe sur l’Israël d’aujourd’hui devraient être considérées avec leur véritable intention : la destruction d’Israël en tant qu’État juif et seul rempart de la civilisation judéo-chrétienne occidentale au Moyen-Orient.