Cette semaine , des arabes déguisés en juifs religieux ont tenté de pénétrer dans des maisons du quartier juif Kiryat Moshe à Jérusalem. Les hommes repérés par les services de police ont été interpellés et arrêtes.

Les mesures de contrôle ont été renforcées dans plusieurs communes de la capitale israélienne suite à la recrudescence des actes de violence anti-juive, commis le plus souvent par des arabes de la ville. Si l’on doit croire certains rapports de police, des dispositions spéciales sont adoptés pour dissuader les bandits, tout au moins, les appréhender au cas où ils auraient eu quand même le temps de commettre leur forfait.

Les patrouilles policières sont également renforcées. Rappelons que plusieurs des cas attentas enregistrés ces dernières années ont été commis suite à des déguisements des arabes palestiniens en juifs religieux.

Cette méthode a été déjà utilisée, déjà le 29 juin 2003, lorsque un terroriste arabe, déguisé en juif ultra-orthodoxe, a monté dans un bus de Jérusalem, ramenant des fidèles juifs de la prière au Mur des Lamentations, pour commettre un attentat suicide qui a fait 20 morts dont des enfants et plus de 100 blessés. Le terroriste était, selon la police israélienne, un imam originaire d’Hébron en Judée Samarie, qui a utilisé une charge de 5 kg d’explosifs renforcés par des clous. L’opération a été revendiquée à l’époque par le Jihad islamique et le Hamas, deux mouvements palestiniens radicaux.

En Décembre 2000, un Palestinien, déguisé en policier israélien, a été tué à Beit Haggaï, près de Hébron, en Judée Samarie

Le 27 avril 2002, une attaque armée fut consommée par trois hommes déguisés en militaires de Tsahal qui ont attaqué une implantation juive en Judée. Un des trois terroristes déguisés a même pénétré dans une maison et il a massacré Danielle Shefi, 5 ans, qui s’était réfugiée dans un lit.

En Décembre 2009, un jeune Arabe israélien de 21 ans, habitant en Galilée, s’est fait passer pour un soldat juif, pour chatter sur internet avec une adolescente de 14 ans qu’il a par la suite violée, lors d’une de leurs rencontres.

Le 7 juillet 2010, une grave tentative de prise d’otage a été évitée en Israël, lorsque un terroriste palestinien , déguisé en élève de Yeshiva, a tenté de prendre contrôle d’un véhicule conduit pas une Israélienne entre les localités d’Eli et de Maaléh Lévona en Samarie. Cet acte terroriste a échoué et l’assaillant s’est enfui.

D’après les témoignages, le terroriste déguisé en élève de Yeshiva portant kippa a fait de l’autostop attendant qu’un véhicule s’arrête tel que c’est l’habitude des jeunes Israéliens sur les routes de Judée et Samarie.

Quand un véhicule conduit par une femme s’est arrêté à sa hauteur, le terroriste a ouvert violemment la portière et s’est introduit pour asperger la conductrice de gaz lacrymogène. La conductrice s’est vite reprise. Alors que ses yeux ne voyaient presque rien, elle a éteint le moteur et est vite sortie du véhicule pour se diriger vers la banquette arrière et saisir sa fille. Entre temps, le terroriste a tenté de faire démarrer le véhicule mais n’ayant pas le code, n’y a pas réussi. Comprenant qu’il n’y parviendrait pas, il est sorti de la voiture et a pris la fuite.

Des informations circulent aussi que des groupes terroristes palestiniens avaient créé recensement des unités spéciales déguisées pour kidnapper des civils juifs. Ils utiliseraient toutes les possibilités de déguisement pour exécuter leurs opérations. Certains de ces moyens consisteraient à se déguiser en militaires de Tsahal ou porter des habits religieux juifs pour justifier de s’être arrêté à certains endroits. Des plans existent aussi pour qu’ils soient aussi déguisés en photographes de presse et pourraient aussi porter des caméras. Ce moyen déguisement en photographes pouvait mettre en danger la vie des véritables reporters.

Bref, les palestiniens ne manquent pas d’ingéniosité, pour commettre des actes de terroristes. Quelle honte quand même ! Ce n’est pas tant l’ingéniosité, mais une croyance que le terrorisme est quelque chose de glorieux chez eux. Il n’y a pas de mot pour décrire le mal que font ces gens.

Ftouh Souhail

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