L’Iran a menacé de boycotter les Jeux olympiques de 2012 à Londres en raison du caractère « raciste » du logo ressemblant au mot « Sion ». Téhéran a déposé plainte auprès du président du Comité olympique international (CIO), Jacques Rogge, et attend une réponse. Le logo de Londres 2012, dévoilé en 2007, représente les chiffres 2012 en couleurs, sous une forme déstructurée.
Le Comité olympique international (COI) a rejeté la plainte iranienne concernant le logo qu’il jugeait »raciste » des Jeux olympiques de 2012, parce qu’il ressemble au mot »Sion ». »Le logo de Londres 2012 représente le sigle 2012 et rien d’autre », a affirmé le COI.
Selon Téhéran, on pourrait lire dans le logo le mot “Zion” (Sion, en anglais), un terme qui désigne la cité de Jérusalem, capitale de l’Etat juif, dont la République islamique d’Iran récuse l’existence. Quoi qu’il en soit, selon la presse iranienne, en plus d’être sioniste, ce logo est aussi celui de la gay-attitude et de la franc-maçonnerie !
Baharm Afsharzadeh, le secrétaire général dy Comité olympique iranien a déclaré aux journalistes: “le concepteur de ce qu’on appelle “ce logo” a fait ses preuves en tant que soumis aux organisations sionistes et franc-maçonnes. La conception est rudimentaire et un niaise. Le logo montre le mot ZION écrit en off couleur rose – une couleur très appréciée par les adorateurs de la déviance sexuelle occidentale. ”
Les esprits moyen-orientales souffrent d’un dogmatisme antisioniste carrément hystérique. La croyance l’antisionisme cache en vérité l’antijudaïsme. L’antisionisme est le fond de commerce inépuisable de ces minables haineux regroupant les nazillons islamistes qui souffrent d’un complexe vis-à-vis d’Israel.
Ftouh Souhail

La cérémonie d’ouverture des jeux olympiques/l’allumage du flambeau, le 27/7/2012, correspond au 9e jour du 11e mois du calendrier Juif, Tisha B’Av, jour de deuil national où le premier ET le deuxième temple juif ont été détruits par le feu.
Les Olympiques de Londres seront peut être aussi victime d’une attaque false flag par les mêmes ayant perpétré les attaques du 11 septembre, soit une bombe sale ou nucléaire, que l’OTAN blâmera sur l’Iran pour justifier la guerre.